Buildings

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Alain SCHEBEN est le lauréat 2018 du 52e salon des peintres de la ville de Grand Quevilly.

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Adolescent, ses premières pratiques ont été la mine de graphite, le fusain et l’encre. Lors d’un voyage en Espagne il découvre le pastel gras qu’il pratique mais continue la gouache, l’aquarelle, l’huile et maintenant s’implique plus à l’acrylique.

D’une manière spontanée, du figuratif est en est venu à l’art abstrait,  et de nombreux peintres l’ont influencé, notamment ceux de l’avant garde russe (1907-1927) sans oublier Nicolas De Staël, Serge Poliakoff,  Frantisek Kupka et Jacques Villon.

Il est membre de « Peinture et Partage » association créée par le peintre Gérard Remigereau.

Au delà

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Alain SCHEBEN est le lauréat 2018 du 52e salon des peintres de la ville de Grand Quevilly.

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Adolescent, ses premières pratiques ont été la mine de graphite, le fusain et l’encre. Lors d’un voyage en Espagne il découvre le pastel gras qu’il pratique mais continue la gouache, l’aquarelle, l’huile et maintenant s’implique plus à l’acrylique.

D’une manière spontanée, du figuratif est en est venu à l’art abstrait,  et de nombreux peintres l’ont influencé, notamment ceux de l’avant garde russe (1907-1927) sans oublier Nicolas De Staël, Serge Poliakoff,  Frantisek Kupka et Jacques Villon.

Il est membre de « Peinture et Partage » association créée par le peintre Gérard Remigereau.

Répétition

La peinture de Muriel Rodolosse incite le spectateur au déplacement. Mouvement que le médium impose également à l’artiste, qui se positionne au revers du support de Plexiglas transparent, pour peindre de l’avant vers l’arrière, premier plan (détails, figures, objets, formes plus ou moins concrètes) d’abord, second plan (paysages, architectures) ensuite, puis fond. La peintre se place physiquement derrière la peinture, et donc face au spectateur que l’on imagine regardant l’oeuvre.

Sur les toits de Caldès

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Peintre, sculpteur, graveur, Jean-Paul Riopelle se forme auprès de Paul-Emile Borduas qui fait partie de l’avant garde surréaliste. En 1947 il rencontre André Breton et s’associera brièvement avec les surréalistes à Paris. Les années 50 sont celles de sa consécration à Paris et en Amérique, c’est aussi la période de ses « grandes mosaïques », tableaux peints à la spatule, faits d’éléments multicolores juxtaposés de façon telle qu’ils rappellent un paysage vu des airs. Avec les années 60, Riopelle diversifie ses moyens d’expression, touchant autant l’encre sur papier, l’aquarelle, la lithographie, le collage que l’huile.

Après avoir rencontré le succès à Paris, il revient au Québec définitivement en 1990. Il passe plusieurs années à perfectionner la technique du all-over, qui consiste à éliminer toute forme de perspective dans le tableau au moyen d’éclats de peinture en couches multiples, technique picturale emblématique de l’artiste américain Jackson Pollock. Par la suite, il renoue avec la figuration : c’est l’arrivée des oiseaux. Il termine sa carrière avec quatre 1er prix internationaux et devient, par le fait même, l’un des plus grand peintres du Canada.

Sans titre

Les photogrammes proviennent d’un ensemble réalisé dans le cadre du projet « DUST, THE PLATES OF THE PRESENT » qui a fait l’objet d’une exposition au Centre Pompidou/Paris en 2020-2021 et d’un catalogue. Les huit photogrammes alors exposés font partie de la collection du Centre Pompidou/Paris. Les œuvres proposées à l’artothèque de Grand Quevilly n’ont jamais été exposées ni publiées.
L’œuvre de Shanta Rao (franco-indienne qui vit et travaille à Paris) invoque un monde transformiste, en perpétuel devenir. Elle puise ses origines dans le concret de phénomènes physiques et biologiques, ou encore dans l’abstraction d’algorithmes empruntés à l’informatique. Par une approche brouillant ou invalidant les généalogies, des objets-sources mutent, s’hybrident et se manifestent sous de nouvelles formes. Changement de langage, de forme, de matière. Qu’elles soient peintures, objets ou installations, elles sont le résultat de procédés et de mécaniques hybrides, une mise en forme de l’entropie qui questionne la persistance des êtres et des choses à travers le temps et la dynamique des flux et des transitions.

Shanta Rao a notamment exposé à la Galerie Edouard Manet, Gennevilliers/FR ; Treignac Projet, Treignac/FR ; Shimmer, Rotterdam/NL ; FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marseille/FR ; FUTURA, Prague/CZ ; Centre Pompidou, Paris/FR ; Nest, La Haye/NL ; Galerie Joseph Tang, Paris/FR ; École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville, Paris/FR ; Institut national du design, Ahmedabad/IN. Ses œuvres sont présentes dans des collections privées et publiques.

Tirage jet d’encre à partir d’un photogramme scannérisé – 1/4

Le moindre geste

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Le travail de Jim-Kevin Quéré s’articule autour du dessin, des estampes et de la photographie. Passionné par les moyens de reproductibilité de toutes les époques, il en explore les possibilités jusqu’à épuisement, à la manière d’un savant dans son laboratoire: impressions numériques, eaux fortes, sérigraphies pour livrer des images singulières.

Le moindre geste sollicite une économie d’informations visuelles et de couleurs. un savant clair-obsur révèle, fantomatiques, comme en lévitation, deux mains aux paumes ouvertes vers le ciel: l’humilité d’un geste de dévotion.

Sans titre 3

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Ex-enseignante d’Arts Plastiques. Depuis 1995, Maryse Pieri expose aux divers salons de la région. Membre de l’Atelier Normand de Création depuis 1996, elle est également sociétaire de plusieurs salons. Ses peintures sont des organisations de formes et de couleurs qui visent à suggérer une interprétation libre du spectateur, où les sens viennent se faire et se défaire.

Liberté, égalité, fraternité, ou la mort!

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S’inspirant des images de combats nombreuses au cinéma et dans les séries TV, Jakobsen transporte la peinture
d’histoire dans le monde de l’imagerie contemporaine à partir d’une scène visiblement située à l’époque de la Révolution Française.

Instiguant le doute et interpellant le spectateur, Henrik Plenge Jakobsen porte un regard caustique teinté de pessimisme sur notre civilisation. Il sonde nos peurs et nos angoisses.

Parfois provocateur, Jakobsen conçoit l’art comme un espace critique, le lieu de remise en question. Son travail se veut complexe tout en gardant une dimension volontiers subversive. Inspirés par les situationnistes, ses travaux ne cherchent pas à représenter la réalité
mais à intégrer la réalité dans ses réalisations. Il fait usage d’un grand nombre de médium, dont l’installation, la peinture murale, l’expérimentation et le texte. A l’aune des préoccupations contemporaines (la biotechnologie et les manipulations génétique,
le cyber âge, etc) il élabore une mythologie du désordre et de la catastrophe puisant largement dans l’imagerie scientifique et cinématographique.

Henrik Plenge Jakobsen né en 1967. Il vit et travaille à Copenhague.

Sans titre

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Cette photographie est celle d’une sculpture réalisée par l’artiste et présentée au musée de Rochechouart en 2017.
Intitulée « Le noyau », il s’agit d’une pomme en polystyrène coupée en deux et de laquelle il a enlevé le plomb qui sert habituellement à lester les fruits factices.

Procédant par collectes dans le paysage, Gyan Panchal s’intéresse avant tout aux objets façonnés par l’homme. Ces objets utilitaires, abandonnés deviennent ses matériaux de prédilection. Silo, bouée, canoë … sont ainsi réinvestis tantôt par recouvrement ou par
soustraction de matières synthétiques et naturelles. Le travail de Gyan Panchal stimule un regard renouvelé sur la matière dont se constitue notre environnement. Considérant les objets « comme des traits d’union entre l’homme et son rapport au territoire, son
rapport à la nature », l’artiste aborde la sculpture par le biais de matériaux toujours pauvres. Revendiquant une filiation évidente avec les artistes de l’Arte Povera et ceux du mouvement Support/surface, il construit une oeuvre basée sur des matières négligées, sans valeur comme le polystyrène qui n’a pas vocation a être montré comme tel et qui est ici révélé.


Né en 1973 à Paris, Gyan Panchal est diplômé d’un DEA d’arts plastiques de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne et a bénéficié de plusieurs expositions personnelles. Il vit et travaille à Eymoutiers (Limousin).