Sans titre

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Membre de l’Union des arts plastiques de Saint Etienne du Rouvray, il dit de sa peinture qu’elle est née de son insatiable curiosité pour la vie et son énergie. Ses toiles sont construites avec des formes colorées qui se jouxtent, se croisent, se superposent, restituant le mouvement perpétuel de la vie.

Tête (7)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.

Tête (5)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.

Tête (3)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.

Tête (2)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.

Tête (1)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.

La Mue dorée des aubes sans venin

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Stéphane Blanquet est un artiste protéiforme que l’on peut croiser autant dans le domaine
de la bande dessinée que dans celui du cinéma d’animation ou encore du théâtre. Il déploie au fil de ses albums, fresques et installations, un univers qui explore les tréfonds de la psyché humaine, des pulsions sexuelles et des désirs inavouables. Cet œuvre fort et dérangeant a fait de lui l’un des artistes majeurs au croisement de la bande dessinée, de l’art contemporain et de l’illustration. Dans une trajectoire faite d’innovations et d’audaces, il multiplie l’apprentissage de savoir-faire — le dessin, la tapisserie, les terres cuites émaillées, l’édition, etc. — au gré de ses expériences. Son art se revendique comme rude, souvent inconfortable, mais poussant à l’introspection.

Avec La Mue dorée des aubes sans venin, Stéphane Blanquet va plus loin en décomposant son œuvre sur trois pierres qui ne trouvent leur sens figuratif qu’une fois pleinement imprimées et assemblées. Dans ce mode de travail, propice aux accidents créatifs, l’artiste voit un « élément poétique à la façon des cadavres exquis mais également un élément contestataire ».
À mi-chemin entre la peinture et le roman graphique, La Mue dorée des aubes sans venin, avec son unique case
et sa narration silencieuse, propose à la fois une lecture conceptuelle et narrative. S. L.

Stéphane Blanquet est né en 1973, à Conflans-Sainte-Honorine. Il vit et travaille à Paris

Lithographie sur Velin d’Arches 300g, 3 passages couleur.
Œuvre réalisée en collaboration avec Erwann Galivel, Martin Giffard, Juliette Mourlon et Kilian Moyson à l’atelier Idem, Paris.

Cette œuvre a été réalisée dans le cadre de la commande Emanata.
Confiée à des auteurs de bande dessinée et à des artistes la commande d’œuvres d’art imprimé, Emanata* dévoile douze créations originales qui témoignent de la singularité de la création contemporaine et des images. Initiée par le ministère de la Culture dans le cadre de « BD 2020, l’année de la bande dessinée », cette commande, portée par le Centre national des arts plastiques (Cnap) en partenariat avec l’Association de développement et de recherche sur les artothèques (Adra) et la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, d’Angoulême, vise à souligner les liens qu’entretient la bande dessinée avec les arts visuels dans la création contemporaine. Les artistes retenus, par un comité de sélection composé de représentants des commanditaires
et des artistes Marion Fayolle et Jochen Gerner, affirment leur appartenance à l’imaginaire et aux codes de la bande dessinée et de l’image graphique et développent des recherches prospectives et expérimentales. Dans la lignée de Nouvelles Vagues (2010–2018) et de nombreux autres programmes de commande menés depuis 1989, Emanata* crée également un terrain de rencontres et d’échanges de savoir-faire entre artistes et artisans d’art, tout autant passeurs d’images et d’imaginaires.
Les œuvres réalisées sont conservées au sein des collections du Cnap, des artothèques et de la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image et viennent enrichir un patrimoine vivant. Destinées par essence à être diffusées largement, les six cent soixante-cinq estampes sont mises à la disposition à la fois des administrations ou des services de l’État mais aussi des emprunteurs des artothèques. Ce deuxième partenariat avec l’Adra — le premier ayant donné lieu à la commande de multiples Quotidien, en 2019 — permet à nouveau de faire circuler des œuvres de l’espace collectif vers celui de l’intime et de toucher ainsi un public élargi.

Red spots II

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Arrivé en France en 1973, James Brown suit les cours de l’école supérieure des Beaux-arts de Paris. Il restera huit années dans la capitale, fréquentant assidûment le Musée des Arts africains et océaniens et le Musée du Louvre entre autres. De retour à New York, c’est au Museum of Natural History et au Metropolitan Museum qu’il abreuve sa soif de connaissances sur les civilisations primitives et les Indiens d’Amérique. Son intérêt pour l’ethnographie le rapproche du courant tendant à revigorer un certain « primitivisme » au début des années 80.

L’artiste va élaborer une écriture plastique qui devient figure. En effet, que ce soient ses premiers travaux où domine la figure humaine ou ses impressions abstraites, l’œuvre gravé de James Brown est mené par le trait du dessin. Celui-ci se refuse d’être la copie d’une réalité extérieure. La ligne, repassée plusieurs fois ou interrompue par endroits, ôte au dessin toute tendance à la description et à l’illustration. L’aspect minimal et la transparence des dessins de Brown, sur papier ou sur pierre lithographique, laissent un espace ouvert à la méditation. Délaissant la figure humaine et la statue primitive, James Brown, dès 1986, se tourne tout naturellement vers l’univers primordial, explorant les mondes marins et céleste. Coquillages, éponges et coraux des mers deviennent météorites.

Tête (10)

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Jean-Charles Blais est un artiste français dont les premiers pas dans l’art se font au sein du mouvement dit de la Figuration libre, au début des années 1980. Ce mouvement, très médiatisé dans les années 1980, se compose d’artistes qui, à travers leurs œuvres, ont pris la « liberté » de faire « figurer » toutes formes d’art sans frontière de genres culturels et d’origines géographiques, sans hiérarchie de valeurs entre haute et sous-culture. Leurs œuvres convient tour à tour les beaux-arts et les arts appliqués, l’art brut et l’art cultivé, l’art occidental et non occidental. Jean-Charles Blais affirme d’ailleurs : « Je suis un artiste qui n’a pas d’idée, ni de sujet de tableau en tête ni de projet. Ma peinture est sans intention… ». À ces débuts, l’artiste utilisait pour ses œuvres des matériaux découverts dans les rues ; à la manière notamment de Jacques Villeglé et Raymond Hains, proches des Nouveaux Réalistes, il affectionnait les affiches déchirées.

Partant de l’urbain, Jean-Charles Blais a souvent souhaité installer son art en retour dans l’espace de la ville. En 1990, il fut engagé pour
« illustrer » une station du métro à Paris. La station de métro Assemblée Nationale, sur la ligne 12, fut retenue. Jean-Charles Blais y installa un
« dispositif », toujours en place, révélant une gigantesque frise de posters imprimés, renouvelés périodiquement. Ces images composent une suite de grandes têtes noires sur fond coloré. La série des 11 affiches qui se trouvent dans la collection de l’artothèque sont issues de cette commande.