La fille au candélabre

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En 30 ans d’expositions rurales ou dans des lieux industriels, Lionel Desmarais s’est forgé une personnalité picturale marquée. Son travail s’inscrit dans une esthétique figurative moderne à la frontière entre l’hyper réalisme et le trompe-l’oeil. Ses clair-obscurs sont l’une de ses marques de fabrique.

Le pont cathédrale

Cubas de son père réfugié d’Espagne, Glaser par sa mère réfugiée d’Europe de l’Est, cette double ascendance lui donnera le goût de la culture. Autodidacte, après de nombreux voyage pour étudier l’histoire de l’art, à 30 ans il se consacre uniquement à la peinture. Préoccupé par le rôle social de l’artiste il s‘engage dans différents projets de diffusion de l’art.

Le mur

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Alain Chavatte  était peintre, graveur et dessinateur originaire de Canteleu.

Peintre confirmé et militant de l’expression artistique pour tous, il animait des ateliers de peinture dans les années 1990 dans les caves de son immeuble de Saint-Etienne du Rouvray. Ce projet fut une telle réussite, qu’il se structura et devint le Centre Social de la Houssière dont il fut un membre actif et le président de l’association.

Sans titre 05

Invité par la ville de Grand Quevilly il réalise une série de photographies. « Grand Quevilly était l’occasion de m’intéresser à une ville de taille  moyenne, endroit sur lequel j’ai peu travaillé jusqu’à présent. J’ai pu aborder ainsi mon thème de prédilection. Comment à partir de peu, essayer de construire un paysage sans trahir le sens des lieux ».

Le travail photographique de Thibaut Cuisset se déploie par campagnes successives et, à chaque fois, un pays différent fait l’objet de la série. Dans ces campagnes généralement assez longues où le repérage se dilue peu à peu dans la prise, aucune place n’est laissée à l’improvisation ou à l’accidentel et d’autant moins que nous sommes avec elles aux antipodes du reportage : un pays n’est pas le terrain d’une actualité qu’il faudrait couvrir, ni celui d’un réseau d’indices qu’il faudrait capter, mais un ensemble de paysages où le type se révèle lentement, à travers des scènes fixes qui sont comme autant de cachettes. La Turquie , l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Islande, les pays de la Loire, et j’en oublie, ont été ainsi visités et prospectés.

Extrait du texte L’étendue de l’insatant de Jean-Christophe Bailly.

Sans titre 04

Invité par la ville de Grand Quevilly il réalise une série de photographies. « Grand Quevilly était l’occasion de m’intéresser à une ville de taille  moyenne, endroit sur lequel j’ai peu travaillé jusqu’à présent. J’ai pu aborder ainsi mon thème de prédilection. Comment à partir de peu, essayer de construire un paysage sans trahir le sens des lieux ».

Le travail photographique de Thibaut Cuisset se déploie par campagnes successives et, à chaque fois, un pays différent fait l’objet de la série. Dans ces campagnes généralement assez longues où le repérage se dilue peu à peu dans la prise, aucune place n’est laissée à l’improvisation ou à l’accidentel et d’autant moins que nous sommes avec elles aux antipodes du reportage : un pays n’est pas le terrain d’une actualité qu’il faudrait couvrir, ni celui d’un réseau d’indices qu’il faudrait capter, mais un ensemble de paysages où le type se révèle lentement, à travers des scènes fixes qui sont comme autant de cachettes. La Turquie , l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Islande, les pays de la Loire, et j’en oublie, ont été ainsi visités et prospectés.

Extrait du texte L’étendue de l’insatant de Jean-Christophe Bailly.

Sans titre 03

Invité par la ville de Grand Quevilly il réalise une série de photographies. « Grand Quevilly était l’occasion de m’intéresser à une ville de taille  moyenne, endroit sur lequel j’ai peu travaillé jusqu’à présent. J’ai pu aborder ainsi mon thème de prédilection. Comment à partir de peu, essayer de construire un paysage sans trahir le sens des lieux ».

Le travail photographique de Thibaut Cuisset se déploie par campagnes successives et, à chaque fois, un pays différent fait l’objet de la série. Dans ces campagnes généralement assez longues où le repérage se dilue peu à peu dans la prise, aucune place n’est laissée à l’improvisation ou à l’accidentel et d’autant moins que nous sommes avec elles aux antipodes du reportage : un pays n’est pas le terrain d’une actualité qu’il faudrait couvrir, ni celui d’un réseau d’indices qu’il faudrait capter, mais un ensemble de paysages où le type se révèle lentement, à travers des scènes fixes qui sont comme autant de cachettes. La Turquie , l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Islande, les pays de la Loire, et j’en oublie, ont été ainsi visités et prospectés.

Extrait du texte L’étendue de l’insatant de Jean-Christophe Bailly.

Sans titre 02

Invité par la ville de Grand Quevilly il réalise une série de photographies. « Grand Quevilly était l’occasion de m’intéresser à une ville de taille  moyenne, endroit sur lequel j’ai peu travaillé jusqu’à présent. J’ai pu aborder ainsi mon thème de prédilection. Comment à partir de peu, essayer de construire un paysage sans trahir le sens des lieux ».

Le travail photographique de Thibaut Cuisset se déploie par campagnes successives et, à chaque fois, un pays différent fait l’objet de la série. Dans ces campagnes généralement assez longues où le repérage se dilue peu à peu dans la prise, aucune place n’est laissée à l’improvisation ou à l’accidentel et d’autant moins que nous sommes avec elles aux antipodes du reportage : un pays n’est pas le terrain d’une actualité qu’il faudrait couvrir, ni celui d’un réseau d’indices qu’il faudrait capter, mais un ensemble de paysages où le type se révèle lentement, à travers des scènes fixes qui sont comme autant de cachettes. La Turquie , l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Islande, les pays de la Loire, et j’en oublie, ont été ainsi visités et prospectés.

Extrait du texte L’étendue de l’insatant de Jean-Christophe Bailly.

Sans titre 01

Invité par la ville de Grand Quevilly il réalise une série de photographies. « Grand Quevilly était l’occasion de m’intéresser à une ville de taille  moyenne, endroit sur lequel j’ai peu travaillé jusqu’à présent. J’ai pu aborder ainsi mon thème de prédilection. Comment à partir de peu, essayer de construire un paysage sans trahir le sens des lieux ».

Le travail photographique de Thibaut Cuisset se déploie par campagnes successives et, à chaque fois, un pays différent fait l’objet de la série. Dans ces campagnes généralement assez longues où le repérage se dilue peu à peu dans la prise, aucune place n’est laissée à l’improvisation ou à l’accidentel et d’autant moins que nous sommes avec elles aux antipodes du reportage : un pays n’est pas le terrain d’une actualité qu’il faudrait couvrir, ni celui d’un réseau d’indices qu’il faudrait capter, mais un ensemble de paysages où le type se révèle lentement, à travers des scènes fixes qui sont comme autant de cachettes. La Turquie , l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Islande, les pays de la Loire, et j’en oublie, ont été ainsi visités et prospectés.

Extrait du texte L’étendue de l’insatant de Jean-Christophe Bailly.