Libre échange

Pierre Petit est un peintre autodidacte, qui s’est consacré à cet art pendant toute son enfance et une partie de sa jeunesse. A cette époque (fin des années 60), il a exposé plusieurs années consécutives dans le cadre de la manifestation annuelle organisée par l’Association des Artistes Elbeuviens à l’hôtel de ville de cette commune. Après une longue interruption durant laquelle il se consacre son temps à la photographie, il a reprend la peinture en 2004, travaillant essentiellement à l’huile. Il peint sur le motif ou il réalise des compositions à partir de photos prises à cet effet.

Ce tableau dénonce les revers de la mondialisation et les conditions de travail indécente d’une partie des habitants de la planète.

La combe perdue

Peintre et dessinateur, il sort  de l’Ecole des Beaux-arts de Rouen en 1968. Sa peinture puise ses sujets aux limites du fantastique. Vice président du Salon des artistes normands il participe à de nombreux salons de la région.

Sans titre 1

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Ex-enseignante d’Arts Plastiques. Depuis 1995, Maryse Pieri expose aux divers salons de la région. Membre de l’Atelier Normand de Création depuis 1996, elle est également sociétaire de plusieurs salons. Ses peintures sont des organisations de formes et de couleurs qui visent à suggérer une interprétation libre du spectateur, où les sens viennent se faire et se défaire.

Morbihan

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Narif du pays de Caux, André Paulmier en a retenu l’atmosphère et les nuances de couleurs déclenchées par le couchant sur la Côte d’Albâtre et ses niches de verdure.

Créateur de couleurs aux profondeurs très travaillées, André Paulmier crée des peintures et aquarelles avec la marque d’un pinceau attentif à la vitalité du motif. Ainsi apparaissent des compositions abstraites rythmées, expressives, où cités et campagnes manifestent leur poésie contemporaine.

Marché de Warwick

Installé à 24 ans, en 1966, dans un petit atelier dans le Vaucluse avec le projet de réaliser des toiles monumentales. Il est rattrapé par ce qui ce passait à quelques champs de lavandes de chez lui, à savoir l’installation d’un arsenal atomique, il décide de dénoncer les effets des bombes en reprenant la silhouette d’un homme calciné par l’éclair atomique à Hiroshima. Il crée un pochoir dont il laisse l’empreinte sur les murs des maisons ainsi que les roches. Engagé politiquement et socialement, Ernest Pignon-Ernest développe un art qui cherche à bouleverser les mentalités, à ouvrir les esprits sur la réalité du monde.

Ses représentations humaines grandeur nature sont réalisées au fusain et reproduites en sérigraphie pour les coller sur les murs des villes, tout autour du monde. Ses œuvres sont éphémères, vouées à disparaître avec l’usure du temps.

Véronique Pasolini

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Installé à 24 ans, en 1966, dans un petit atelier dans le Vaucluse avec le projet de réaliser des toiles monumentales. Il est rattrapé par ce qui ce passait à quelques champs de lavandes de chez lui, à savoir l’installation d’un arsenal atomique, il décide de dénoncer les effets des bombes en reprenant la silhouette d’un homme calciné par l’éclair atomique à Hiroshima. Il crée un pochoir dont il laisse l’empreinte sur les murs des maisons ainsi que les roches. Engagé politiquement et socialement, Ernest Pignon-Ernest développe un art qui cherche à bouleverser les mentalités, à ouvrir les esprits sur la réalité du monde.

Ses représentations humaines grandeur nature sont réalisées au fusain et reproduites en sérigraphie pour les coller sur les murs des villes, tout autour du monde. Ses œuvres sont éphémères, vouées à disparaître avec l’usure du temps.

Porte de Démeter II

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Installé à 24 ans, en 1966, dans un petit atelier dans le Vaucluse avec le projet de réaliser des toiles monumentales. Il est rattrapé par ce qui ce passait à quelques champs de lavandes de chez lui, à savoir l’installation d’un arsenal atomique, il décide de dénoncer les effets des bombes en reprenant la silhouette d’un homme calciné par l’éclair atomique à Hiroshima. Il crée un pochoir dont il laisse l’empreinte sur les murs des maisons ainsi que les roches. Engagé politiquement et socialement, Ernest Pignon-Ernest développe un art qui cherche à bouleverser les mentalités, à ouvrir les esprits sur la réalité du monde.

Ses représentations humaines grandeur nature sont réalisées au fusain et reproduites en sérigraphie pour les coller sur les murs des villes, tout autour du monde. Ses œuvres sont éphémères, vouées à disparaître avec l’usure du temps.

Chaux-de-fonds

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Pablo Palazuelo est un peintre, graveur et sculpteur espagnol né à Madrid en 1915. C’est une figure de l’art espagnol de la seconde
moitié du XXe siècle. Formé initialement à l’architecture et admiratif du travail de Paul Klee et de Vladimir Kandinsky, c’est géométriquement qu’il aborde l’abstraction. En 1945 il expose pour la première fois ses peintures, puis s’installe en 1948 à Paris. Il y vivra 20 ans et y créera ses premières compositions géométriques avant de retourner en Espagne en 1969 jusqu’à sa mort en octobre 2007.
Cette lithographie minimaliste, de couleur rouge représente des formes géométriques existantes. Dans son processus de création, il ne semble pas être intéressé par la composition finale et les formes mais d’avantage par la recherche et la variation. Ici, l’utilisation de l’estampe a permis l’obtention d’un aplat uni de rouge vif. Les formes qui se touchent et s’enchevêtrent, suggèrent une idée de tension entre elles.

Sans soustraction, offert au vent

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Yvon Neuville compose ses premières toiles en 1960 et expose régulièrement depuis 1971. Il est responsable du groupe  »Geste et Synthèse » au Salon Comparaisons Paris et commissaire adjoint du salon.

« Neuville est un peintre accompli qui, par son engagement, occupe une place originale dans la vie culturelle normande. Sa gestuelle inspirée concilie équilibre et besoin de liberté. Car chaque toile doit pour lui rester une aventure, un cheminement jonché de surprises et de sensualité, jusqu’à ce qu’il se sente en osmose avec elle. Il n’est pas étonnant qu’un tel homme aime la poésie, cette parole au goût d’aurore. Il y puise fréquemment l’argument d’un tableau, l’étincelle nécessaire à un nouveau départ. » L. Porquet (extrait)